Veillée J'évoquais, dans un précédent billet traitant de la communauté du libre, le principe consistant à prendre un objet, à l'améliorer puis à le rendre à la collectivité sans rien attendre en retour que la satisfaction d'avoir œuvré pour le bien commun, en dehors de toute préoccupation financière.

On me fera remarquer que ces contributions volontaires sont apportées à des œuvres de l'esprit (les logiciels), à des créations immatérielles pouvant de surcroît être facilement reproduites à l'infini et diffusées, et non à des biens palpables. Et que, donc, la chose reste assez simple. Et on aura raison.

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