Ahhhhhh, les Suisses...
Impeccables comme toujours. Les Suisses, c'est la liberté propre, calculée au millimètre, et pas donnée. Un savant mélange de perfection et d'insupportable confort bobo...

Eau chaude, gaz, électricité 220V. Tout juste s'il n'y a pas un rangement pour les sandales néobab en Kevlar, la balayette à clairière et la cuvette d'aisance en faïence immaculée avec trappe pour dévidoir de papier senteur Ricola des Alpes.

À défaut d'être roots et économique, c'est marrant à regarder.

Prix : 6 500 à 7 700 € hors taxes suivant modules. Mmh ? Ah ben qualité Suisse hein !

Merci à Aurèle pour l'info.

Du nouveau pour les amis de partoo !

Si j'en juge par le nombre de visiteurs et les commentaires en forme de gros points d'interrogations laissés au pied des billets parlant de lui (voir ce billet, et cet autre), le Partoo suscite étonnement, intérêt, sympathie, envie, questionnements et même, chez certains, une cruelle démangeaison de la caisse à outils.

J'ai répondu comme j'ai pu, dressant une liste d'outils ici, de matériaux là, expliquant comment ça tenait, sur quoi ça reposait, où ça appuyait... Mais la forme littéraire n'est pas la plus appropriée pour expliquer la découpe à la meuleuse d'un profil acier 25/100e à bords arrondis avec défonce coaxiale de la languette latérale à clanche sub-torique.

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Un week-end à marquer d'une pierre blanche... un galet du lit du Lot du côté de la Canourgue, par exemple.

Ayais ! J'ai mon auto depuis quelques temps déjà. Un Partner. Une belle bête, ma foi. Un truc pratique et confortable. Une voiture de quadra. Une quadrature quoi. Je ne m'attarde pas dessus, ce n'est pas le lieu ici pour faire l'apologie d'un bête moyen de transport.

Par contre, je sens que je vais apologiser un brin sur une option un tantinet "espéciale", que d'aucun pourrait chercher un bon moment et en vain dans le catalogue du constructeur. Une option faite avec mes menottes à moi, et qui transforme un Partner en Partoo !

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On me demande des photos.
Un petit impatient qui, lisant certains billets précédents et faisant, je ne sais comment, un rapprochement entre mon intérêt pour le Parlingoo et ma passion pour les tournevis, semble supposer que quelque chose se trame sur l'établi.
Comme il va finir par casser des bibelots à force de sautiller partout, je consents à apaiser sa curiosité. Mais, convaincu qu'il ne faut pas céder aux enfants caractériels, je ne ferai que montrer le voile, sans le soulever.

Car l'affaire mérite d'être testée en conditions avant que d'être livrée en pâture aux regards avides et commentaires étonnés. Je pars donc ce week-end de Pentecôte sur l'Aubrac, en cette saison revêtu de sa robe de narcisses délicats. A la faveur d'un petit coin de bois offrant une belle perspective sur le grand plateau, j'attendrai le soir, j'installerai, j'éprouverai, j'approuverai j'espère, puis je vous dirai.

Voilà. Tout est là. Il n'y manque pas un boulon, pas une rondelle.
"Touchez ma bosse, Monseigneur, elle vous portera bonheur !"

C’est un beau dimanche. Il pleut à verse, mais l’Ile Magnifique a un tout nouveau et tout beau thème. Il adapte celui de mon ancien blog aux possibilités de personnalisation offertes par DotClear.

Concevoir le graphisme fut simple, mais de la maquette à l’écran, il y a un pas. J’ai bien tenté de le franchir, bûchant des livres de html, potassant des notices d’éditeurs web, martyrisant des feuilles de style et tripatouillant à n’en plus pouvoir du code revêche. Las, le chemin était trop long, trop incertain. Alors, fatigué de marmonner d’interminables incantations (chier, merde, j’y arriverai jamais… !) pour m’attacher vainement les faveurs du ciel, à bout de ressources, j’ai décidé d’en appeler au Maître.

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C'est bô... c'est comme neuf... Ce blog vient de migrer de Canalblog chez Free. Je n'avais rien de spécial à reprocher à Canalblog, c'est gratuit, c'est simple, c'est pratique comme du prêt-à-l'emploi. Mais quand même, mon île magnifique avait du mal à se raconter sous un bandeau publicitaire faisant défiler les Cofidis, Rencontre.com et autres Cegetel. Chez Free et propulsé par DotClear, voilà un blog dégagé de tout lien commercial non désiré, et personnalisable à souhait. C'est mieux ainsi.

Ca, c'est pour tester un truc. Mais c'est surtout que les noisos, c'était ma passion d'adolescent. Depuis cette période bénie, j'en ai appris plein d'autres des noms de noisos : pipit farlouse, connard, blaireau, oedicnème criard...

Recherchez un noiso

Aller hop, testons une image pleine largeur avec du texte autour ! Avec la photo d'un copain en train de pisser dans le Tarn (ou alors quoi sinon ? Sérieux comme il est ? Vois pas ce qu'il pourrait faire d'autre... en temps normal, il éclabousse partout). Voyons donc... pas trop se plaindre on dirait. Encore quelques petits ajustements, et vais pouvoir commencer à poser sur le biniou un peu de baratin pondu pour l'occasion...

M'emmerde un peu cette ligne violette autour... alors ça doit être clic clic clic... &"/p-#... ? ... clic clic clic...*+[~]_... ??? ... hi hi hi, cha marche paaaas...quel langage à la con ce hlmtruc... bon, laissons tomber ça pour le moment.